Première constatation, le Costa Rica est vert, très vert, beaucoup de palmiers pour produire de l’huile, des forêts de palmiers.

Deuxième constatation, le Costa Rica est peuplé d’animaux pas toujours visibles mais très bruyants : aras rouges, singes hurleurs, oiseaux aux chants incroyables, iguanes (plutôt silencieux).





Nous contournons le Golfo Dulce et passons la nuit au milieu de la forêt tropicale à Puerto Jimenez. La nuit le température descend à peine et nous dormons les portes arrière ouvertes mais avec une moustiquaire car un gros machin volant est entré et on a mis du temps à le retrouver entre les coussins et à le jeter dehors.

Le long du golfe, les plages se succèdent, désertes.



Ensuite nous remontons le long du Pacifique.


A Uvita, nous trouvons un camping bien ombragé et qui donne direct sur la plage. Le soir, nous marchons vers le coucher de soleil jusqu’à ce que la marée haute nous oblige à rebrousser chemin en vitesse au risque d’être coincés dans la mangrove avec des habitants pas sympas.







Ici, outre les questions habituelles sur la 2cv, on nous demande systématiquement si on a de l’air conditionné. « Non, mais on a du chauffage ! 😳🤔 ».
Petite information pour ceux qui suivent notre trajet sur la carte. Depuis que nous sommes au Panama, la balise n’émet plus que de façon très aléatoire. Contact pris avec le sav Spot, ce dysfonctionnement serait dû au pannes électriques qui paralysent le Vénézuela et qui empêchent le relais Spot dont nous dépendons actuellement de fonctionner correctement. On compte sur Maduro pour régler ça au plus vite 😏.