Capitale qui concentre 2/3 de la population du pays.
Le camping n’est qu’à quelques km du centre, donc nous nous y rendons à pied sous un ciel gris mais sec.
Nous longeons le front de mer parsemé de sculpture dont le très inoxydable « Voyageur du Soleil ».
Nous avons d’un côté les montagnes, de l’autre les immeubles modernes comme le grand auditorium Harpa composé de plus de 10.000 vitres en nid d’abeille.
A hauteur du port, quelques jolies maisons colorées ou en bois dans un quartier piétonnier.
La rainbow street mène tout droit à la grande église en béton qui fait penser aux colonnes basaltiques. L’intérieur est particulièrement sobre.
Comme encas, on succombe au célèbre hot-dog (pyls), un vrai délice (vraiment)
Mais c’est à midi qu’on teste la soupe islandaise servie dans un pain rond qui fait office de bol. Très chaud, épicé et roborative. Quentin a même mangé son bol…
La ville n’est pas très grande mais on tourne beaucoup dans toutes les rues et on commence a avoir quelques km dans les pieds. Un cappucino et un pain au chocolat (mais oui !) seront nécessaires pour effectuer le chemin retour vers le camping.
Hæ Ferðamennirnir (ça en jette hein!),
Vous voilà donc dans la plus petite capitale d’Europe. Bien nommée «baie des fumées» (cf sources d’eau chaude). Vue d’ici, elle assure le dépaysement, comme le reste du pays que vous avez déjà exploré. Sans parler de la langue. Tout ça m’incite à enrichir mon vocabulaire: je connais désormais 4 mots en islandais: granit, bravó, litri et strumpur. Trop fastoche, ce sont des emprunts au français . Pour le dernier, je vous laisse deviner.
Côté bouffe, le roi (cf enseigne du food truck) mange-t-il des «pyls»? Quentin oui mais sans pils et avec une Gull. C’est mieux qu’un McDo. De toute façon, l’enseigne est inexistante en Islande.
Bref, nourriture terrestres ou spirituelles, on se régale et on voyage. Bravó pour les photos et on attend la suite.
Dikke kus
Appétissant et tentant, à un prix décent ?
Auditorium ; en cas de secousse,on joue au mikado après ?