Nous trouvons facilement des chouettes bivouacs, souvent au bord d’un lac, dont un grouille de têtards.
A Smithers, nous pouvons nous réapprovisionner et prendre une douche. Un peu au nord de la ville, une randonnée devrait nous mener au pied d’un glacier. Il fait gris mais on garde espoir.
L’ascension est raide, le minuscule sentier est détrempé, envahi par les plantes dont des framboisiers que l’on partage visiblement avec un animal qui connait les bons coins.
La vue sur les cascades et la vallée est bien dégagée. On doit passer de plus en plus d’éboulis, la pente s’accentue et le glacier a tellement reculé qu’on ne le verra que de très loin. La descente sera périlleuse à cause des pierres mouillées, des cailloux qui roulent, de la boue.
Dans la rivière qui longe la route, les saumons sont arrivés et les pêcheurs les attrapent à l’épuisette.
Notre premier ours
On est partagé entre l’envie de lui faire une gratouille et les consignes strictes pour éviter tout contact trop rapproché. On reste donc gentiment dans la voiture.
Finalement, vous lui avez laissé les framboises ??? (à la peluche)
Pour les saumons, c’est carrément la honte de les attraper à l’épuisette.
En Norvège, il y a 30 ans au moins, j’avais espéré en pêcher, mais ça coûtait dans les 1500 francs la journée pour pouvoir accéder à des plateformes comme celles de vos photos !!!!
Du coup, on n’avait mangé que des truites qui pullulaient dans tous les ruisseaux et également des framboises et des cèpes comme chez nous. Alors, cherchez et vous aurez peut être des cèpes ???