Une très bonne route asphaltée traverse le désert, deux grands salars et nous amène sans encombre à Ollagüe. Nous pensions trouver de l’essence dans cette minuscule ville de quelques maisons autour d’une gare ferroviaire. Que dale. Notre dernier plein remonte à Calama et nous avons 18l dans la remorque. Il faut qu’on tienne jusqu’à Uyuni, c’est faisable.
Avant de passer la frontière, on déjeune chez une charmante dame qui nous sert un bouillon de viande et un spaghetti bolognaise (!!).
A la douane chilienne, les formalités sont rapides. 2km plus loin, la douane bolivienne nous tamponne les passeports et nous remet le titre d’importation temporaire sans soucis. Je négocie même avec un douanier le change de mes pesos chiliens contre des bolivianos.
C’est sur une piste plutôt bonne mais très poussiéreuse que nous nous dirigeons vers Uyuni.
En fin d’après-midi, on trouve un bivouac au milieu de formations rocheuses perdues dans le désert, la Valle de las Rocas. On est à 4160m. A Salta, Quentin avait changé la pompe du chauffage pour l’adapter aux hautes altitudes. Ce soir nous testons et confirmons que ça marche, même si ça chauffe un peu moins vu que le débit est moindre ! Au petit matin, il fait -1 degré…
C’était faisable en effet, ce matin vous êtes à Uyuni !!!!!
y a plus qu’à…….attendre la suite !
Chapeau boule à l’horizon ?