Après 2 contrôles sanitaires pour s’assurer que nous n’avons pas de fruits et légumes, nous voilà en Patagonie.
Faute de coin sympa pour passer la nuit à Viedma, nous décidons d’abandonner la ruta 3 et de rejoindre la côte à El Condor.
Mais avant d’aller plus loin, Quentin détecte du jeu dans la roue de la remorque et à Viedma il change les roulements.
Nous tombons sur un magasin qui vend du SKF et nous pouvons en racheter pour en avoir toujours en réserve.
El Condor est une petite ville balnéaire, désertée en hiver mais dont les falaises accueillent la plus grande colonie de perroquets au monde. Comme c’est marée basse, nous pouvons avancer jusqu’au pied de la falaise et apprécier leur plumage ainsi que leur ramage assourdissant. Il y aurait près de 35.000 nids.
Pour changer de la ligne droite et éviter les camions, nous continuons sur « el camino de la costa », qui comme son nom l’indique, longe la côte. La jolie route goudronnée se transforme rapidement en ripio, cailloux et sable. Elle serpente entre les hautes dunes, longe la plage, coupe à travers la pampa. On admire les dunes, qui sont de plus en plus grandes, des passages sablonneux deviennent plus fréquents, là, on est carrément dans les dunes….. et on ne passe plus.
Un pêcheur nous confirme que la piste est bloquée et qu’il faut faire demi-tour, c’est-à-dire revenir à Viedma ! Pas le choix, mais on peut varier le plaisir en prenant une autre piste tout aussi caillouteuse mais qui ne fait que 100km au lieu des 130km que l’on vient de faire. Heureusement depuis quelques temps, nous avons un bidon de 20l d’essence dans la remorque et il nous sera bien utile.
De retour à Viedma, on fait le plein et on repart par la ruta 3 cette fois- ci.
Très longue journée mais une belle surprise nous attendait à Las Grutas… à suivre…
:))))))))
À vous le grand sud ! Que de beaux paysages en perspective…vivement la suite
Bises
Super los papagayos !!! je e vous écris pas souvent mais je suis toujours impatiente de lire la suite des nouvelles aventures de Quentin et Carine. Bises à tous les deux et merci de nous faire rêver.
Chers gaucho et gaucha d’adoption, salut!
Nous voilà revenus de la campagne albigeoise pour picorer avec gourmandise dans vos équipées géographiques, touristiques, humaines, historiques, climatiques et… mécaniques. Sur ce dernier point, avec l’astuce de Question, l’assistance de Carine, un brin de chance et l’ami Félix, pas d’inquiétude ni de risque d’être à coté de ses pompes, si on peut dire.
Les chutes d’Iguazu: à tomber (en pâmoison).
Faune et flore inhabituelles pour nous. Quoique! Iguazu-Neder-over-Heembeek même combat: la seconde compte une avenue de l’araucaria (il s’y trouve un exemplaire de 15 m classé) et la ligne du tram 7 compte un arrêt du même nom à 5 minutes de chez nous.
Une sacoche (grise) sur pattes: brrrr! Je flippe.
Les Ripoux de la Ruta 14: bien gérés. D’ailleurs ils n’en sont pas encore remis.
Sont-ce des klinkers à San Antonio de Areco?
Vent et pluie sur la pampa? Puisqu’on ne voit pas le paysage, on se croirait sur l’E411.
Patagonie: le Grand Sud, il n’y a pas foule… Aussi peu peuplée que la Sibérie, mais plus que l’Alaska. Et ces perroquets à El Condor, franchement… où est passé le fameux condor des Andes?
Bref, la route est parfois longue, longue, longue, ce qui nous fait sentir petits, petits, petits, mais les belles surprises vous attendent aussi au tournant. C’est ce qui compte.
Sinon, pas encore acheté de poncho? Elégant, pratique contre la pluie et peut servir de tente…
Allez, blague à part, on se lit, on s’aime, on s’encourage et on s’ouvre au monde. Beau programme non?
Super dikke kus de nous
Chers gaucho et gaucha d’adoption, salut!
Nous voilà revenus de la campagne albigeoise pour picorer avec entrain dans vos équipées géographiques, touristiques, humaines, historiques, climatiques et… mécaniques. Sur ce dernier point, avec l’astuce de Question, l’assistance de Carine, un brin de chance et l’ami Félix, pas d’inquiétude ni de risque d’être à coté de ses pompes, si on peut dire.
Les chutes d’Iguazu: à tomber (en pâmoison).
Faune et flore inhabituelles pour nous. Quoique! Iguazu-Neder-over-Heembeek même combat: la seconde compte une avenue de l’araucaria (il s’y trouve un exemplaire de 15 m classé) et la ligne du tram 7 compte un arrêt du même nom à 5 minutes de chez nous.
Une sacoche (grise) sur pattes: brrrr! Je flippe.
Les Ripoux de la Ruta 14: bien gérés. D’ailleurs ils n’en sont pas encore remis.
Sont-ce des klinkers à San Antonio de Areco?
Vent et pluie sur la pampa? Puisqu’on ne voit pas le paysage, on se croirait sur l’E411 un jour de drache.
Patagonie: le Grand Sud, il n’y a pas foule… Aussi peu peuplée que la Sibérie, mais plus que l’Alaska. Et ces perroquets à El Condor, franchement… où est passé le fameux condor des Andes?
Bref, la route est parfois longue, longue, longue, ce qui nous fait sentir petits, petits, petits, mais les belles surprises vous attendent aussi au tournant. C’est ce qui compte.
Sinon, pas encore acheté de poncho? Elégant, pratique contre la pluie et peut servir de tente…
Allez, blague à part, on se lit, on s’aime, on s’encourage et on s’ouvre au monde. Beau programme non?
Super dikke kus de nous