C’est accompagnés d’une tempête de vent et de pluie que nous commençons notre traversée de la Pampa. Le vent de côté chasse violemment la pluie qui s’infiltre par les interstices de la porte de Quentin. La deuche roule en crabe, Quentin tient fermement le volant pour rester sur la route tout en épongeant l’eau qui l’éclabousse par la fenêtre (fermée, je précise). Tout à coup, la route s’offre un virage et c’est à mon tour d’écoper. Tiens, ça me rappelle quelque chose…
Ces conditions météo ne dérangent en rien les nombreux camions qui doublent à fond, nous arrosant au passage. Heureusement ça ne dure que quelques heures et arrivés à Tandil, la pluie aura cessé. Reste le vent qui nous glace mais notre petit chauffage nous permettra de passer une soirée confortable.
Tandil est une grande ville, réputée pour ses fromages et saucissons. Nous ferons le plein dans une très ancienne boutique.
Nous reprenons la Ruta 3 et nous vivons une nouvelle expérience : rouler sur une route archi plate, toute droite et ne pas pouvoir passer la 4ème. La faute au vent de face. On roule à 50-60 km/h maximum. C’est encore loin Usuhaia ?
Les grandes plaines à perte de vue sont ponctuées de petites lagunes, de nombreuses vaches brunes et encore de quelques rangées d’eucalyptus.
Nous n’avons fait que passer par la grande banlieue de Buenos Aires, tentaculaire, sans fin mais ce fut l’occasion de rencontrer Claudio, le Président du Mehari Club d’Argentine. De cet échange très sympathique, nous repartons avec les coordonnées des membres du Club qui se trouvent sur notre route, jusqu’à Usuhaia et même au Chili. Plus rien ne peut nous arriver !
Estupendo !
Chers gaucho et gaucha d’adoption, salut!
Nous voilà revenus de la campagne albigeoise pour picorer avec gourmandise dans vos équipées géographiques, touristiques, humaines, historiques, climatiques et… mécaniques. Sur ce dernier point, avec l’astuce de Question, l’assistance de Carine, un brin de chance et l’ami Félix, pas d’inquiétude ni de risque d’être à coté de ses pompes, si on peut dire.
Les chutes d’Iguazu: à tomber (en pâmoison).
Faune et flore inhabituelles pour nous. Quoique! Iguazu-Neder-over-Heembeek même combat: la seconde compte une avenue de l’araucaria (il s’y trouve un exemplaire de 15 m classé) et la ligne du tram 7 compte un arrêt du même nom à 5 minutes de chez nous.
Une sacoche (grise) sur pattes: brrrr! Je flippe.
Les Ripoux de la Ruta 14: bien gérés. D’ailleurs ils n’en sont pas encore remis.
Sont-ce des klinkers à San Antonio de Areco?
Vent et pluie sur la pampa? Puisqu’on ne voit pas le paysage, on se croirait sur l’E411.
Bref, la route est parfois longue, longue, longue, ce qui nous fait sentir petits, petits, petits, mais les belles surprises vous attendent aussi au tournant. C’est ce qui compte.
Sinon, pas encore acheté de poncho? Elégant, pratique contre la pluie et peut servir de tente…
Allez, blague à part, on se lit, on s’aime, on s’encourage et on s’ouvre au monde. Beau programme non?
Super dikke kus de nous
2 eme lavage de voiture en perspective? Et vous avez même as eu peur ?
Paysages plats monotones à la longue (c’est grand l’Argentine !) 60 km /h de quoi être tenté par une petite sieste ????
Vu qu’il était déjà humidifié, pq Quentin n’a t il pas cédé le volant qd vous avez tourné ?
Le moral reste bon etl les rencontres sympas y participent merci Carlos…
P & M..
Trempé oui mais pas du bon côté . . .
A vélo, c’etait du 8km/h en poussant ferme ….et plus loin en Patagonie ….cela va pas s arranger 🙂 Cela vous obligera à faire des incursions dans la cordillère …pour varier les plaisirs…
Better there than in place Meier at 6pm anyway 🙂