Après avoir passé le pont qui enjambe le Rio Parana de Las Palmas et sous lequel nous étions passés avec le cargo juste avant Zarate, nous nous dirigeons vers la ville qui perpétue la tradition des gauchos de la Pampa.
Nous nous installons dans le parc San Martin, au bord du rio Areco, lieux de détente des habitants. Il y a quelques stands de produits artisanaux en cuir, des saucissons et du fromage. Une gentille dame nous informe que ce soir à 21h, il y a la Peña à La Matera (lieu où se rassemblaient les gauchos pour boire le maté). Juste après le vieux pont, c’est une grande salle avec des longues tables où les habitants viennent passer la soirée et manger un bout. Par hasard, un jeune couple s’installe à notre table et il commence à nous parler français car il est d’ici mais habite à Villeurbanne !?!?.
A 22h30, le groupe de 4 musiciens commence à jouer et tout le monde se lève pour danser des sortes de quadrilles folkloriques.
Passé minuit, nous bravons le froid pour rejoindre notre bivouac et nous nous emmaillotons dans nos duvets. Ce matin, il fait 4 degrés (oui je sais, vous vous êtes morts de chaud) mais le soleil nous réchauffe vite.
Nous parcourons les rues de cette paisible ville coloniale, ses vieux bâtiments, ses rues pavées, le chant de nombreux oiseaux.
Nous avons aussi l’occasion d’aller visiter le musée du gaucho qui retrace les origines et coutumes depuis le XVIème siècle.
Chers gaucho et gaucha d’adoption, salut!
Nous voilà revenus de la campagne albigeoise pour picorer avec gourmandise dans vos équipées géographiques, touristiques, humaines, historiques et… mécaniques. Sur ce dernier point, avec l’astuce de Question, l’assistance de Carine, un brin de chance et l’ami Félix, pas d’inquiétude ni de risque d’être à coté de ses pompes, si on peut dire.
Les chutes d’Iguazu: à tomber (en pâmoison).
Faune et flore inhabituelles pour nous. Quoique! Iguazu-Neder-over-Heembeek même combat: la seconde compte une avenue de l’araucaria (il s’y trouve un exemplaire de 15 m classé) et la ligne du tram 7 compte un arrêt du même nom à 5 minutes de chez nous.
Une sacoche (grise) sur pattes: brrrr! Je flippe.
Les Ripoux de la Ruta 14: bien gérés. D’ailleurs ils n’en sont pas encore remis.
Sont-ce des klinkers à San Antonio de Areco?
Bref, la route est parfois longue, longue, longue, ce qui nous fait sentir petits, petits, petits, mais les belles surprises vous attendent aussi au tournant. C’est ce qui compte.
Sinon, pas encore acheté de poncho? Elégant, pratique contre la pluie et peut servir de tente…
Allez, blague à part, on se lit, on s’aime, on s’encourage et on s’ouvre au monde. Beau programme non?
Super dikke kus de nous
Salut
Quel parcours en si peu de temps, vous êtes mon « bouquin » favoris !!!
Prenez soin de vous.
Bises
Chers gaucho et gaucha d’adoption, salut!
Nous voilà revenus de la campagne albigeoise pour picorer avec gourmandise dans vos équipées géographiques, touristiques, humaines, historiques et… mécaniques. Sur ce dernier point, avec l’astuce de Question, l’assistance de Carine, un brin de chance et l’ami Félix, pas d’inquiétude ni de risque d’être à coté de ses pompes, si on peut dire.
Les chutes d’Iguazu: à tomber (en pâmoison).
Faune et flore inhabituelles pour nous. Quoique! Iguazu-Neder-over-Heembeek même combat: la seconde compte une avenue de l’araucaria (il s’y trouve un exemplaire de 15 m classé) et la ligne du tram 7 compte un arrêt du même nom à 5 minutes de chez nous.
Une sacoche (grise) sur pattes: brrrr! Je flippe.
Les Ripoux de la Ruta 14: bien gérés. D’ailleurs ils n’en sont pas encore remis.
Sont-ce des klinkers à San Antonio de Areco?
Bref, la route est parfois longue, longue, longue, ce qui nous fait sentir petits, petits, petits, mais les belles surprises vous attendent aussi au tournant. C’est ce qui compte.
Sinon, pas encore acheté de poncho? Elégant, pratique contre la pluie et peut servir de tente…
Allez, blague à part, on se lit, on s’aime, on s’encourage et on s’ouvre au monde. Beau programme non?
Super dikke kus de nous
Réflexion usée à la corde : le monde est petit ! …à moins que ce soit Villeurbanne qui soit grand ?
Votre virée « gaucho » dans un froid de canard, vous manquez pas d’humour …
Les Gauchos sont encore en activité ou est ce devenu folklorique, leur consacrer un musée, ça sent la poussière..
Bisous
P&M