Lundi 23 juillet, le soleil est avec nous et à 9h, nous sommes à l’entrée du Parc National, classé au Patrimoine de l’Unesco. Des sentiers dans la forêt, très bien aménagés et des passerelles nous permettent de profiter des chutes, d’en bas, plus haut et en surplomb. Magique, sous toutes les coutures et crescendo jusqu’à la « gorge du diable » où le fleuve Iguazú tombe de 60 mètres dans un grondement sourd, créant un nuage de vapeur qui masque le pied de la cascade et embrume la vallée. L’eau dégringole à raison de 1700 m3/seconde. Juste les images…
Bonjour, les fameux coati ne vous ont-ils pas dévalisées toutes vos victuailles ? c’est pas timide ces bestiaux ! un peu plus familiers que les sangliers du mognard . Aux chutes, c’est le bruit qui est impressionnant, et l’atmosphère humide. N’avez-vous pas vu des toucans ? Bises . Bernard
Tu aurais du demander a Félix de te trouver un carbu pour ta brouette a chenilles !!!!
On ne sait jamais.
Plus précisément c’est un COATI
L’oiseau bleu et jaune serait un GEAI ACAE
Quant au papillon, si je le retrouve souvent sur internet (blogs et autres), aucune identification n’est visible , c’est juste ….un papillon …!
Visite approfondie puisque vous avez même été voir côté brésilien, les photos sont éloquentes mais les chutes ne nous semblent pas au max de leur débit ??
P&M
Oh un faux raton laveur 🙂