1er juillet 2018, 15h, le pilote monte à bord. Il y a une trentaine de cargos en attente. Au loin la côte est bétonnée d’immeubles.
On passe sous un grand pont routier.
Avec l’aide de 2 remorqueurs, le cargo se faufile entre les îlots, les hauts fonds et les petits “pains de sucre”. On rase les rives de la baie, d’un côté les rochers, marinas et plages privées, de l’autre une forêt de gratte-ciels derrière les favelas.
Au bout de 7km, presque au fond de la Bahia Vitoria, les remorqueurs nous font faire demi tour sur place et nous poussent contre le quai. Il est 16h30.
Il est prévu que l’on reparte à 4h du matin mais le larguage est repoussé à 11h. Il faut se faire à l’idée que le planning n’est jamais tenu. Ce décalage nous redonne espoir d’avoir le temps d’aller voir le Pain de Sucre de Rio (Pan de Azucar – Sugar Hill – Pao de Acucar). Allez, encore une autre langue à digérer !