A 10h (heure locale) nous sommes à quai à Dakar. Le temps de remplir les formalités douanières et c’est déjà l’après-midi. On enfile casque de chantier et gilet jaune pour traverser le port et nous voilà sur le sol africain. Les decks sont bien verrouillés et gardés donc nous partons sereins pour nos véhicules.
La ville est en effervescence car il doit y avoir un match important ce soir. Ce mondial nous poursuit car c’est denouveau la France qui joue et qui gagne …
On va à pied jusqu’à la place de l’indépendance et puis on remonte te la rue Pompidou jusqu’au marché et ses boutiques.
On se fait accoster un millier de fois pour nous vendre de t-shirts et autres babioles. Les Sénégalais sont plutôt sympas et quand on leur dit qu’on a déjà décliné une bonne centaine de fois leurs propositions d’achat, ils rigolent et nous disent : « nous sommes emmerdants comme des mouches mais on ne pique pas comme les moustiques » (proverbe africain).
On repart demain matin pour Conakry.
Bonjour samay xarit (mes amis en wolof),
Dakar, une escale où vous n’êtes pas restés calées (notez l’anagramme stp… Quentin, tu me pardonneras le féminin). Réputée pour être cosmopolite, elle est en tout cas polychromique. On se croirait en Afrique… 😉 A propos de proverbe africain et en voyant vos photos, en voci un autre : tout a une fin, sauf la babane qui en a deux.
On attend vos impressions sur Conakry ou sur ce que vous pourrez en voir. Au fait, le Grande Brasile charge ET décharge à chaque fois? Plus de descente dans les entrailles du bateau?
Inutile de préciser que vous occupez largement (et affectueusement) nos pensées.
JM complète à fond sa carte mentale de votre parcours.
Bises de nous